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La relève assurée
Avec Aileen Clark, la Division de l’éducation permanente (DEP) est en de bonnes mains. La nouvelle directrice de la DEP prend la succession de Gisèle Barnabé, maintenant directrice du Bureau du développement depuis le 1er octobre.
Coordonnatrice à la DEP depuis 2005, Aileen Clark ne s’attendait pas à remplacer sa patronne. « Gisèle Barnabé était vraiment formidable et c’est avec un certain pincement au cœur que nous l’avons vue partir, confie-t-elle. La DEP a connu un tel développement sous sa direction et de belles réalisations ont eu lieu grâce à elle. »
Prendre la relève à la tête de la DEP n’est donc pas une mince affaire. « Mon rôle est de poursuivre l’épanouissement que Gisèle a amorcé et surtout de faire croître la structure de l’école de langues qui est réellement la pierre angulaire de la DEP, explique la nouvelle directrice. Nous voulons aussi diversifier notre offre et aller chercher les intérêts de la communauté. »
À la DEP depuis plusieurs années, Aileen Clark accède pour la première fois dans sa carrière à un poste de direction. « On espère toujours accéder à un poste de direction à un moment donné dans sa carrière, soutient-elle. Je suis vraiment ravie de pouvoir le faire à la DEP, c’est une transition tout en douceur pour moi. »
Quant au Service de perfectionnement linguistique (SPL), dont elle est désormais responsable, c’est tout neuf pour elle.
« C’est un nouvel apprentissage pour moi, explique-t-elle. Je me rends d’autant plus compte de l’envergure des services que propose le SPL : tutorat, évaluation interne et externe, relecture, traduction. C’est vraiment extraordinaire ce que réalise ce bureau. »
C’est donc avec enthousiasme qu’elle assume son nouveau poste au sein d’une équipe qu’elle connaît et apprécie beaucoup. « Les deux équipes, celle du SPL et celle de la DEP sont composées de professionnels extraordinaires, observe-t-elle. Mon rôle devient plus global au niveau de ce que j’apporte à l’équipe. »
Au carrefour des différents secteurs de l’Université, la DEP a donc de beaux jours devant elle. « J’ai des projets en tête, mais qui sont encore à l’état embryonnaire, conclut-elle. Nous essayons toujours d’élaborer des projets avec la communauté pour la faire rayonner. Par exemple, je réfléchis à un partenariat avec la Fédération des aînés franco-manitobains (FAFM), qui pourrait être très intéressant. » C’est à suivre!
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